Ce texte est reçu le soir où j'ai appris le décès d'un cousin éloigné, mort accidentellement en Guadeloupe. *

 L'éloignement ne doit pas être un frein à la communication entre les êtres. Tu ressens quelque chose et cela se transmet autour de la Terre. Tu le sais déjà. Il te reste à découvrir comment être efficace dans ce cas.

Visualise, – pas les cocotiers,* – mais la souffrance à défaire, les douleurs en tout genre à libérer par cette joie de la création.
Tout ce qui est a sa raison d'être, donc pas de larmes, de sensiblerie, mais seulement un fait, un état sur lequel tu dois œuvrer pour installer cette énergie de vie dans la mort, comme vous dites.

Transmets encore pour que tout le monde comprenne que la mort s'inscrit dans la logique de vie et qu'elle se perpétue au-delà, dans un état qu'il ne vous appartient pas de savoir, puisqu'il n'est pas de l'ordre de votre logique ni de votre raison.

Cet homme a souffert, mais bien au-delà de son accident. C'est en cela que tu dois intervenir, ou mieux, ne rien faire dans l'action, mais développer dans l'être ; au cœur de ton âme.
Comme la goutte d'eau connaît l'océan, ton âme est en lien avec le Tout et par le Tout tu libéreras sa souffrance ; seulement par ce chemin et non par ton ego.

Votre âme a les pouvoirs de guérir, comme le faisait ton Jésus, le Nazaréen. L'homme ne faisait rien, son âme, par le Divin, pouvait tout.
C'est cela l'enseignement de ce soir.

Ne te relie pas au mort pour avoir la moindre interaction avec lui, mais relie-toi au Tout qui fera tout. Alors ce sera une gloire, une bénédiction, la reliance de tous les mondes.
Alors tout devient simple et fluide et la vie circule partout, même au-delà de cette apparence de mort qui vous effraie, alors qu'elle n'est que promesse de renouveau.

Maintenant pratique et mets en œuvre cet enseignement. Nous serons là pour guider tes pas, dans tes doutes, tes hésitations, et le dispersement de ton esprit qui cherche à fuir vers le monde dense.
Essaie. Nous sommes là.
Merci.

Merci Mahé mon ami.